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Voyage Amoma Section de Paris à Saumur, les 18 et 19 octobre 2024

Le point d’orgue de nos deux jours à Saumur, les 18 et 19 octobre a été le Gala « Les Musicales du Cadre Noir » ! Institution prestigieuse de l’équitation française, le Cadre noir de Saumur forme les cavaliers et les écuyers les plus talentueux de la France. Au cœur de la vallée de la Loire, ce corps d’élite de l’équitation est reconnu mondialement pour son excellence et sa rigueur. Grâce à Pierre DEL PORTO, vice-président de notre AMOMA de PARIS, maitre d’œuvre de ces deux jours, nous avons bénéficié d’un riche programme de visites en des lieux exceptionnels : Vendredi 18 octobre 2024 – Visite de « Pierre et Lumières », une magnifique exposition de sculptures taillées dans la pierre de tuffeau à St Hilaire St Florent. Site : www.pierre-et-lumiere.com – Visite du Musée troglodyte du Champignon. Route de Gennes à St Hilaire St Florent. Site : www.musee-du-champignon.com – Visite des caves Bouvet Ladubay, à St Hilaire St Florent. Site : www.bouvet-ladubay.fr – Visite de la Belle collection de 20 voitures hippomobiles de l’IFCE (Institut Français du cheval et de l’équitation). Site : Les voitures hippomobiles les plus typiques des Haras (ifce.fr) Cette 1ère journée s’est achevée par un dîner spécialement organisé pour l’AMOMA au Cadre Noir même, dans la Salle à manger de Direction. Et a été suivie à 21h00 par le Gala « Les musicales du Cadre Noir » dans le Grand manège des écuyers. Places VIP. Rencontre de la musique classique et de l’art équestre, pendant 1h45. Site : www.ot-saumur.fr Samedi 19 octobre 2024 – Visite commentée du Château de Saumur (Patrimoine mondial de l’Unesco), ses collections de faïences et l’exposition « Jeux et Joutes ». Site : www.chateau-saumur.fr – Déjeuner de spécialités dans les Caves troglodytes de Marson Site : www.cavesdemarson.com – Ces deux formidables journées se sont terminées par la visite du musée de la Cavalerie. Histoire militaire, riche collection d’uniformes, d’armes et d’œuvres d’art dans l’ancien site du Cadre noir en ville. Site : www.musee-cavalerie.fr Pour plus d’information : www.ot-saumur.fr Contact : Contact Amoma Section de Paris

Visite du musée de la Libération de Paris, le jeudi 14 décembre

Le site du  musée de la Libération de Paris a une surface d’exposition de 2 500 m2 Le musée rassemble près de 300 objets : documents originaux et photographies, des uniformes, des affiches, des journaux ainsi que des témoignages audiovisuels. Sous le musée se trouve un abri de défense passive où le « colonel Rol-Tanguy » installe son poste de commandement le 20 août 1944, dès le début de l’insurrection populaire contre l’occupant. Quatre jours plus tard les premiers détachements de la 2ème DB arrivent. Henri Rol-Tanguy est décédé en 2002. Photo du col. Rol-Tanguy et du gl. Leclerc en 1944 A l’invitation de Didier Brunet, membre du Bureau de l’AMOMA 75, qui organise cette visite, son fils Jean Rol-Tanguy nous rejoindra pour la matinée. Avant cet échange privilégié, nous bénéficierons d’une visite guidée du musée et du poste de commandement souterrain (Attention l’accès au PC souterrain se fait par un escalier long et étroit) Le musée de la Libération de Paris – musée du Général Leclerc – musée Jean-Moulin est situé au 4 avenue du colonel Rol-Tanguy 75014, (métro Denfert-Rochereau). Pour plus d’information : Musée de la Libération Leclerc Moulin (paris.fr) Contact : Contact Amoma Section de Paris

Journée ROSA BONHEUR

Mercredi 11 janvier 2023, journée ROSA BONHEUR, organisée par Pierre Del Porto, Section de Paris de l’AMOMA et Académie d’Agriculture de France. Cette journée, qui a réunit un grand nombre de participants, s’est composée en deux parties : Le matin, dans la salle des séances de l’Académie d’Agriculture, une passionnante conférence donnée par le Professeur Bernard Denis sur le thème « L’intérêt scientifique de l’œuvre de Rosa Bonheur ». L’après-midi, la visite de l’exposition « Rosa Bonheur (1822-1899) » du Musée d’Orsay, sous la conduite d’une guide-conférencière de grande qualité. « ROSA BONHEUR » Issue d’une famille d’artistes, Rosa Bonheur a réalisé une œuvre abondante, fruit de sa cohabitation quotidienne avec les animaux, dans ses ateliers successifs et sur le terrain. Le regard qu’elle porte sur la nature qui l’entoure témoigne d’une vision exceptionnelle de la flore comme de la faune. Elle place les animaux au cœur de sa création artistique au sein de spectaculaires compositions ou les isole dans de véritables portraits. Rosa Bonheur a su créer une œuvre expressive, dénuée de sentimentalisme et d’un extraordinaire réalisme, nourrie des découvertes scientifiques et de l’attention nouvelle portée aux espèces animales. Célébrée de son vivant des deux côtés de l’Atlantique, cette personnalité fascinante s’est imposée aussi bien en tant que femme libre que comme artiste officiellement reconnue dans un siècle très corseté. Première femme artiste à recevoir la Légion d’honneur, Rosa Bonheur a su s’associer aux marchands et collectionneurs les plus éminents pour dominer le marché de l’art et conquérir son indépendance financière et morale. Rapidement, Rosa Bonheur fut perçue comme un modèle à suivre dans la quête d’indépendance des femmes et des artistes. L’exposition, à travers une sélection d’environ 200 œuvres (peintures, arts graphiques, sculptures, photographies), joue sur les ruptures d’échelles, l’artiste ayant peint de très petits formats ou au contraire des œuvres monumentales, le plus souvent panoramiques et dynamiques. Dépassant de loin les clichés qu’elle a contribué à construire, Rosa Bonheur s’avère avant tout une grande créatrice, qui mérite d’être redécouverte comme telle. 200 ans après sa naissance, l’art et la personnalité de Rosa Bonheur font résonner de nombreuses questions sociétales plus que jamais d’actualité : la place des femmes dans l’art et la société, la cause animale et sa place dans la ruralité et l’écologie. Au-delà de l’icône artistique et féministe, Rosa Bonheur a peint avec une belle précision les animaux. Au regard de l’histoire et de l’évolution des races d’animaux domestiques, Bernard Denis compare, lors de sa conférence, des toiles de l’artiste avec des photographies actuelles des principales espèces d’animaux domestiques, et évoque des éléments d’histoire peu connus du grand public. Pour en savoir plus ! https://www.musee-orsay.fr/fr

L’exposition « les Raisins de Redouté » du 24 août au 4 septembre 2022, au Jardin du Luxembourg

L’Académie d’agriculture de France, le Sénat et les Editions Paulsen présentent pour la première fois au public, cette collection unique ! Récemment retrouvées dans les archives de l’Académie d’agriculture de France, ces aquarelles, peintes entre 1806 et 1811 par Pierre Joseph Redouté, « le Raphaël des fleurs », illustrent vingt cépages de la collection des vignes du jardin du Luxembourg. Initiée par Chaptal alors ministre de Bonaparte, cette collection unique visait à améliorer le vignoble et la qualité des vins français. Aujourd’hui, l’importance de nos terroirs viticoles nous permet d’apprécier le rôle visionnaire de cette initiative du début du XIXe siècle. Vingt planches exposées au pavillon Davioud sont complétées de panneaux rappelant cet épisode de la viticulture française. Cet ensemble présente l’importance du travail de Chaptal et de Redouté et montre son actualité criante, à l’heure où les viticulteurs s’interrogent sur le choix de cépages adaptés au réchauffement climatique. Elles ont une valeur patrimoniale inestimable et marquent une date hautement symbolique dans l’histoire de la viticulture française : les prémices de l’ampélographie. À l’heure du regain d’intérêt pour les cépages autochtones et des nombreuses interrogations que posent le réchauffement climatique, les vélins de Redouté témoignent, en effet, de la diversité passée dans un pays où 95 % de la production vinicole reposent aujourd’hui sur 40 variétés. Un ouvrage, intitulé : « Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour l’avenir de la vigne », a été publié aux éditions Paulsen, dans lequel les reproductions des planches sont accompagnées d’un texte explicatif de Jean-Michel Boursiquot, considéré comme le plus grand spécialiste actuel en ampélographie. L’ouvrage, disponible sur le lieu de l’exposition, a obtenu le Prix de l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV) 2022. L’exposition : Du mercredi 24 août au dimanche 4 septembre 2022, de 11h00 à 19h30, dans le Pavillon Davioud au Jardin du Luxembourg (entrée 55 bis, rue d’Assas – 75006 Paris). Entrée libre et gratuite Le public y sera accueilli tous les jours par des Académiciennes et des Académiciens avec qui il sera possible d’échanger.

L’exposition « La guerre des moutons »

– LE MERINOS A LA CONQUÊTE DU MONDE 1786-2021 – Visite du 15 février 2022. À travers l’histoire de la Bergerie nationale de Rambouillet et de son troupeau de moutons mérinos à la laine surfine, c’est une guerre de plus de deux cents ans qui nous est contée. Tout commence en 1786, avec le voyage vers Rambouillet du troupeau offert par le roi d’Espagne à Louis XVI, dans un contexte d’âpres rivalités commerciales. Dès lors, la Bergerie de Rambouillet se veut la vitrine de l’excellence française, lieu de formation des meilleurs bergers du pays. L’institution traverse les XIXème et XXème siècles en étant mêlée à tous les grands enjeux de l’histoire, tout en préservant dans ses murs le trésor vivant d’un troupeau reproduit sans aucun croisement extérieur jusqu’à nos jours. Mobilisés par Napoléon Ier pour contrecarrer l’industrie de la laine britannique, présents dans toutes les expositions internationales du XIXème siècle, exportés sur tous les continents, aujourd’hui invités à éduquer les jeunes générations aux enjeux de la biodiversité, les mérinos de Rambouillet sont les acteurs d’une histoire sans pareille. Riche d’archives inédites et d’une iconographie exceptionnelle (vidéos, gravures, aquarelles, photographies, tableaux d’échantillons de laine, etc.), l’exposition « La Guerre des moutons » entraîne le visiteur dans un récit palpitant. Cette histoire qui croise les enjeux de l’élevage, de l’industrie, du commerce, de la science et de la diplomatie, est le fruit d’une longue recherche qui associe historiens et spécialistes des sciences de l’animal. Elle nous dit l’intimité insoupçonnée des relations entre l’histoire de France et celle d’une race choisie pour être le miroir de son génie modernisateur. Cette belle exposition est présentée dans l’Hôtel de Soubise, Musée des Archives nationales. La visite a été conduite par Pierre FOURNIE, Conservateur général du patrimoine, responsable de l’action éducative et culturelle aux Archives nationales. Pour en savoir plus : Archives nationales (France) (culture.gouv.fr)